Voici quelques photos d’une partie des teintures naturelles que j’ai réalisé ces dernières années. Les supports sont variés, souvent de la laine, mais aussi du coton, du lin, de la soie. Il est bien sûr possible de teindre des fibres avant filage, et même avant cardage.
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La palette des couleurs obtenues avec la garance, principalement en fonction de la température du bain, du mordant utilisé et du pH de l’eau. Les deux écheveaux de gauche sont sur coton, le reste sur laine. Une de mes teinture préférée pour la variété de couleurs possibles.
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Les bleus avec l’indigo. L’indigo tient sur toutes les fibres, animales et végétales.
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De gauche à droite bois rouge sur coton et soie, carthame sur coton et lin.
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De gauche à droite : bois jaune, noyer et ensuite je ne sais plus… sur laine, coton et soie.
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De gauche à droite henné, cachou, quebracho, bourdaine, santal, gambier.
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De gauche à droite : camomille, sophora, nerprun, gaude, gaude du jardin par fermentation (vert vif), extrait de chlorophylle ; sur laine et coton.
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La palette des couleurs obtenues uniquement avec la cochenille, l’une des seules teintures qui ne soit pas végétales puisque la cochenille est un insecte. Ces couleurs sont obtenues en faisant varier les mordants, les post-bain et le pH.
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Les vieux roses des fleurs d’hibiscus
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Fleurs de delphinium sur l’écheveau de gauche. Tous les autres : les fleurs du millepertuis.
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Les bleus, mauves et noir du bois de campêche, et le noir sur lin de la noix de galle (tout à gauche).
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Les beiges et gris de l’écorce de chêne.
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Le noir de la noix de galle, associée au sulfate de fer